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12 octobre

L’orage de la nuit dernière a mouillé les chemins…prudence, attention aux dérapages. Par contre cette humidité a favorisé l'apparition de nombreux champignons.

 

Un écureuil s’affaire, à son aise, je ne semble pas l’effrayer, serait-il un peu engourdi ?

 

Un arbre à franchir : poids et haltères au programme.

Plus loin ce sont 3 arbres emmêlés qui bloquent mon passage, demi-tour, aujourd’hui je prends les chemins de campagne, les bois cumulent trop d’obstacles.

 

Paysages ouverts, ciel bleu, soleil et douceur, je serai en retard mais la balade est belle. Des linottes s’envolent d’un champ : frous-frous et gazouillis.

A l’entrée d’un corps de ferme, une bergeronnette me salue.

Les perruches semblent affectionner nos zones péri-urbaines bâties de 4 façades entourées de jardin, j'en rencontre beaucoup sur Bienne et Buvrinnes.

 

Un passage désagréable car beaucoup de voitures roulent à une vitesse excessive : la traversée de Bienne-lez-Happart et sa petite route sinueuse ; le revêtement tout neuf favorise les fangios !

 

Sur la fin de mon trajet, je croise un second écureuil, beaucoup plus tonique, il traverse le chemin de 3 bonds et grimpe dans un arbre à toute allure.

 

Batterie vidée avant mon arrivée, la cycliste a résisté et a quand même savouré les derniers kilomètres en bord de Sambre accompagnée de colverts et poules d’eau.

 

Pollution sur la Sambre ? Non, juste un épais tapis de feuilles mortes qui trouble la surface de l'eau.

 

Au retour, une buse fascine mon regard, elle utilise les courants ascendants et décrit des cercles tout en s'élevant dans l'azur.

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