Eric-Emmanuel Schmitt.
Editions Albin-Michel.
Alceste et Célimène ont quelque chose à me dire.
Ce fut d’abord Célimène et le Cardinal au théâtre des Trois coups à Fontaine-l’Evêque. C’est maintenant ce texte d’Eric-Emmanuel Schmitt, emprunté à la bibliothèque sur base du nom de l’auteur sans me rendre compte que cet opus était le texte d’une pièce et non pas un roman.
Débat philosophique en filigrane. On retrouve dans cette pièce, le thème de l’homme qui veut changer le monde et porte en son âme dégoût de ses contemporains qu’il croit trop enclins à céder aux humeurs du monde, à rire et jouir sans jamais s’inquiéter.
On y trouve aussi un thème relatif au métier d’acteur, comment peut-on incarner un personnage lorsqu’on lui est diamétralement opposé, s’imprègne-t-on de caractéristiques de son personnage ?
Cette pièce tient du vaudeville et du classique tout à la fois. J’ai trouvé cet écrit assez vif, enlevé, jubilatoire…et j’aimerais beaucoup avoir l’occasion de découvrir cette œuvre mise en scène.
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