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Le jour où j’ai appris à vivre.

Laurent Gounelle.

Kero.

 

A plusieurs reprises déjà, j’avais croisé le nom de cet auteur dans des comptes-rendus de lectures et il me paraissait intéressant.

J’ai donc emprunté cet ouvrage en bibliothèque. (Avant le confinement !)

 

J’ai ressenti de l’ennui, beaucoup d’ennui au point d’envisager d’abandonner ma lecture, chose qui ne m’est guère arrivée dans ma longue vie de lectrice.

 

Je suis pourtant familière d’ouvrages de développement personnel, ce roman m’a paru tellement tarte à la crème, lourd de poncifs.

Prenez quelques copiés collés issus de sites de développements personnels, de livres, de syllabi de psychologie, enrobez les de l’histoire d’un avocat en mal d’amour, en perte de repères, j’ai presque envie de dire vulgairement dont la vie part en…

 

Quelques instant de grâce dans les dernières pages ont fait poindre l’émotion, hélas, ceux-ci n’effacent pas totalement le déplaisir et l’agacement souvent suscité par ce bouquin.

 

 

A prendre ou à laisser, pour ma part et de manière totalement subjective, je coche la seconde option.

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Commentaires: 1
  • #1

    Hinque Arlette (dimanche, 26 avril 2020 10:42)

    Jolis papillons !