Pierre Schroven
L’Arbre à paroles.
J’ai refermé le recueil et pris une longue respiration.
J’ai regardé le ciel et le bouquet d’arbres à l’horizon, sous un ciel de plomb, une corneille s’y posait.
Merci de cet écrit, monsieur Schroven, qui nous relie à l’essentiel, cette vivance, cette nature en nous et autour de nous.
Je suis entrée au diapason de vos mots via la sensibilité.
Ils parlent à l’âme, au cœur et nous dispensent de toute rhétorique.
Je suis en effet moins familière de chroniques poétiques que de chroniques littéraires.
Subsiste une question, la corneille constitue-t-elle le seul lien entre votre écrit et l’œuvre de Guillaume Cornelius van Beverloo ?
Écrire commentaire
Hinque Arlette (dimanche, 04 octobre 2020 21:42)
Très poétique !