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La petite marchande de rêves

Maxence Fermine

Editions de la loupe

 

Dans ce cas, je l’avoue, c’est d’abord une illustration de couverture qui m’a fait tendre la main et me saisir du livre.

Ensuite le nom de l’auteur.

J’avais découvert Maxence Fermine avec tango Masaï, un roman qui ne m’avait pas totalement convaincue alors que les parfums, les couleurs, le rythme du récit de monsieur Fermine me ravissaient.

La magie de l’illustration de Louise Robinson se retrouve à chaque page du conte.

Malo, petit garçon rêveur, volontiers dans la lune est projeté dans un univers de féeries, de monstres et de sortilèges.

J’ai apprécié les couleurs, la fantaisie, le rythme de ce récit.

La tendresse pour le monde de l’enfance a comblé la mamou que je suis.  J’ai aisément imaginé ma petite princesse sous les traits de Clarisse, de Lili ou même de Malo.

J’ai cru déceler quelques clins d’œil à d’autres œuvres : Les trois brigands de Tomi Ungerer ; un toboggan qui vous envoie à l’envers du décor, Alice n’est pas loin.

N’hésitez pas,

Laissez-vous glisser sur le toboggan des mots,

Explorez l’envers du décor

Redevenez enfant le temps d’une lecture

Et achetez une boîte à bonheurs pour colorer les heures grises.

Bonne et belle lecture.

 

 

PS : Il y a une suite… et, pour ma part, j’imagine avec plaisir une adaptation cinématographique.

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