Jirô TANIGUCHI
Rue de Sèvres
Dans les rayons d’une librairie ou d’une bibliothèque, souvent, j’ai ma petite liste, parfois je laisse le hasard guider mes choix.
Ce fut le cas pour cette BD et c’est une splendide découverte.
Les illustrations sont superbes, la forêt, les arbres, les oiseaux dessinés très finement dans un très beau nuancier ; une grande quiétude émane de ces images.
Un récit initiatique à propos de Wataru, garçon calme et tranquille confié à ses grands-parents suite à la maladie de sa maman.
Faut-il y voir un écho à ce que vivait l’auteur, malade, lors de la réalisation de ce projet- inachevé.
Je me suis baladée dans cet ouvrage et j’y ai trouvé le même apaisement que lors d’une marche en forêt.
Quel dommage de découvrir un auteur alors que, déjà, il nous a quitté.
C’est cependant certain, je découvrirai quelques-uns de ses autres ouvrages.
Lesquels me conseillez-vous ? L’homme qui marche, L’orme du Caucase ?...
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